La Cour de cassation confirme la relaxe du directeur de publication du Canard Enchaîné dont un article mentionnait qu'une avocate avait "oublié" de payer ses cotisations à la caisse de retraite des avocats et à l'Ordre des avocats de Paris : les limites admissibles de la liberté d'expression n'ont pas été dépassées.
Une femme exerçant la profession d'avocat a porté plainte et s'est constituée partie civile devant le doyen des juges d'instruction (...)Cet article est réservé aux adhérents