La polémique publique peut autoriser une dose d’exagération voire de provocation, notamment dans le cadre de débats d’intérêt général, dès lors que les propos ne sont pas dépourvus de toute base factuelle.
Un homme s’est constitué partie civile du chef d’injures publiques après avoir constaté la diffusion de tweets le visant nommément. Dans certains tweets envoyés le plaignant était qualifié de "nazillon homophobe" et "facho et homophobe". Le 5 mai 2017, le tribunal de grande instance de Paris constate que les parties échangeaient des messages virulents au sujet du "mariage pour tous" via le réseau Twitter. Les termes employés dans les messages (...)
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