A l'issue d'un contrôle par l'administration fiscale de la société B., l'administration a notamment réintégré dans les résultats des exercices clos en 1996 et 1997 les provisions pour dépréciation comptabilisées au titre des stocks des boîtes non étiquetées dites boîtes blanches. Par un jugement du 2 mars 2006, le tribunal administratif d'Amiens a rejeté la demande de la société de décharge des suppléments d'impôt sur les sociétés et de (...)
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