Un rescrit fiscal du 10 avril 2012 précise qu'en matière de médecine esthétique, les actes pratiqués par les médecins ne sont éligibles à l'exonération que dans la mesure où ils sont considérés comme poursuivant une finalité thérapeutique.Aussi, les actes à visée purement esthétique, qui ne peuvent être considérés comme poursuivant un tel but, doivent être soumis à la TVA. A cet égard, peuvent être considérés comme poursuivant une finalité (...)
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