Un infarctus survenu à l’arrivée dans l’entreprise doit être considéré comme un accident du travail, quand bien même des symptômes préalables seraient survenus lors du trajet entre le domicile et le lieu de travail.
Un salarié, employé en qualité que vendeur, a été victime d'un infarctus, dont il est décédé quelques jours après. Cet accident a été pris en charge au titre de la législation professionnelle par la caisse primaire d'assurance maladie (CPAM). L'employeur a saisi d'un recours une juridiction de sécurité sociale. La cour d'appel de Bordeaux a rejeté son recours.Les juges du fond ont relevé que le salarié avait pointé et s'était dirigé immédiatement (...)
Cet article est réservé aux adhérents