Une banque a consenti un prêt à des époux en vue de l’activité professionnelle du mari. Des parents se sont rendus cautions solidaires de ce prêt. Après mise en redressement judiciaire du mari, la banque a poursuivi l'épouse et les cautions en exécution de leur engagement. Concernant l'épouse, dans un arrêt du 1er juillet 2008, la cour d'appel d'Angers a condamné la banque à lui payer une certaine somme à titre de dommages intérêts et a ordonné la (...)
Cet article est réservé aux adhérents