Dans un arrêt du 25 février 2009, la cour d’appel de Paris déclare valide un compromis de vente d'un immeuble en viager sans les formalités des articles L. 121-21 et suivants du code de la consommation, et ce même s’il a été signé à domicile, dès lors qu'il n'y a pas eu démarchage. Les juges du fond ont relevé que Mme M. envisageait de vendre son appartement en viager, qu’elle en avait parlé à son notaire et que celui-ci l’avait dirigée vers une (...)
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