Pour la première fois, la Commission de déontologie a officiellement rejeté une demande de mobilité d'un directeur de cabinet ministériel qui se portait candidat à la présidence d'un grand groupe.
Le 15 décembre 2010, la Commission de déontologie a interdit à un directeur de cabinet ministériel de se porter candidat à la présidence d'une grande entreprise française, retenant que la loi interdit aux fonctionnaires d'intégrer une entreprise dont ils ont "assuré le contrôle ou la surveillance" au cours des trois années précédentes.
Cet article est réservé aux adhérents