Si un bénéficiaire accepte le contrat d'assurance sur la vie du donateur avant son décès, il ne le fait pas entrer dans sa succession.
Une femme souscrit six contrats d'assurance sur la vie au bénéfice de son frère. Celui-ci décède. Elle désigne alors en qualité de bénéficiaires, à parts égales, la fille de son frère, et le fils de son autre frère, antérieurement décédé. La femme décède, à son tour, en laissant pour seuls héritiers sa nièce et son neveu précités. Un jugement prononce la nullité de ces avenants pour insanité d'esprit de leur signataire et dit que la nièce est (...)
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