M. X. a pris à bail, par acte du 26 août 1996 stipulant qu'il serait maintenu dans les lieux sa vie durant, une maison d'habitation que M. et Mme Y. ont acquis sur adjudication le 15 octobre 2004. Les bailleurs ont notifié à M. X. le 25 février 2005 un congé aux fins de reprise. Ce dernier les a assignés pour entendre dire ce congé nul et de nul effet. La cour d'appel de Rennes a rejeté sa demande et constaté la résiliation du bail par l'effet du congé. Les (...)
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