Mme X. a donné à bail à M. Z. une maison à usage d'habitation par acte du 8 juillet 1991. Par arrêté du 29 janvier 1996, le préfet de la Sarthe a autorisé M. Z. à affecter à usage de salon de coiffure une pièce de l'immeuble loué. Mme X. a délivré à M. Z. un congé pour vendre à effet au 31 juillet 2006. Le preneur a contesté en justice la validité du congé, soutenant être bénéficiaire d'un bail commercial. La cour d'appel d'Angers a rejeté sa (...)
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