Le défaut d'authenticité de l'acte n'affecte pas sa validité.
Une femme est décédée en 2006 en laissant pour lui succéder trois enfants et en l'état d'un testament léguant à sa fille aînée la quotité disponible.Les héritiers sont convenus d'un partage des biens meubles et immeubles composant la succession par acte sous seing privé du 3 avril 2007 prévoyant sa réitération par acte authentique au plus tard le 30 avril 2007.La fille aînée à constaté l'acte de partage. Par un arrêt du 1er juin 2011, la cour d'appel (...)
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