La date erronée du codicille d'un testament n'entraîne pas, en l'espèce, la nullité de ce dernier, un élément intrinsèque corroboré par un élément extrinsèque venant attester de la véracité de la date litigieuse.
Un homme est décédé le 20 février 2005, en laissant pour lui succéder son fils, sa fille et sa petite-fille venant par représentation de son père prédécédé le 11 septembre 1988. Par testament authentique reçu le 8 janvier 2001, il avait institué ses deux enfants légataires universels. Par codicille olographe, il avait légué la quotité disponible de sa succession à son fils. La cour d'appel de Bordeaux confirme le jugement ayant rejeté la demande de la (...)
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