La Cour de cassation apporte des précisions quand à la subrogation réelle de l’article 922 du code civil dans le cas de la donation d'une somme d’argent ayant servie à l’acquisition de la nue-propriété d’un bien.
Mme U. est décédée en laissant pour lui succéder ses deux enfants, Mme N. et M. A., en l'état d'un testament olographe du 27 août 2009 léguant à son petit-fils R. la quotité disponible et des parts sociales.Par acte du 24 mai 1982, elle avait fait donation à son fils, par préciput et hors part, avec dispense de rapport, d'une somme de 350.000 francs, que celui-ci avait employée dans l'acquisition, par acte du même jour, de la nue-propriété d'un bien (...)
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