Une proposition de loi tendant à faciliter le règlement des conséquences pécuniaires du divorce a été déposée au Sénat.
L'administration fiscale considère que l'attribution d'un bien propre de l'ex-époux débiteur, en paiement d'une prestation compensatoire en capital doit être regardée comme une cession à titre onéreux, laquelle constitue le fait générateur de la plus-value immobilière imposable, qui est dès lors réclamée. Selon le sénateur François Pillet, cette interprétation a pour effet de rendre peu attractif ce mode de règlement de la prestation compensatoire, en (...)
Cet article est réservé aux adhérents