Le caractère humiliant et dégradant de l'article intitulé "Obono l’Africaine" dans lequel la députée LFI est dépeinte en esclave, accompagné d'une illustration la montrant enchaînée, ne peut être justifié par la satire, le caractère fictionnel des propos ou par les débats actuels sur la "racialisation" : la gravité de cet acte est sans commune mesure avec la nature des débats engagés, parfois avec virulence, dans la sphère politique.
Le (...)Cet article est réservé aux adhérents