La prise en charge médicale, condition du maintien en détention de l’ex-chef militaire de l’organisation séparatiste basque ETA, atteint d’une sclérose en plaques, n'a pas été respectée par la France, en violation de l’article 3 de la Convention européenne des droits de l’Homme.
Juan Fernandez Iradi, ex-chef militaire espagnol de l’organisation séparatiste basque ETA, désormais détenu en Espagne, été placé en détention en France en (...)Cet article est réservé aux adhérents