Si c'est à tort que l'arrêt fonde la déclaration d'irrecevabilité sur l'absence et le défaut de représentation du prévenu à la dernière audience, il n'encourt cependant pas la censure, les moyens de nullité invoqués étant irrecevables pour n'avoir pas été soulevés devant le premier juge.
Mme X. a été condamnée pour escroquerie, faux et usage de faux à 4 mois d'emprisonnement avec sursis et 5 ans d'interdiction d'exercer une fonction publique. A une première audience, en date du 24 janvier 2013, l'avocat de Mme X., qui n'était pas présente, a déposé des conclusions de nullité visées par le président et le greffier, et sollicité un renvoi dans l'attente de la décision à intervenir sur la requête en suspicion légitime déposée par sa (...)
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