La valeur probante d'une clé USB et d'un montage vidéo sont considérées comme insuffisante pour déterminer si les propos tenus par le prévenu constituaient une injure publique à l'égard de la police nationale.
Lors d'un rassemblement du collectif "La révolution en marche" devant le siège du syndicat Alliance - Police nationale, un homme avait tenu des propos contre la police nationale, dans le contexte de l'affaire "Théo". Le ministère de l'Intérieur qui a déposé plainte pour injure publique envers la police nationale prétendait que le prévenu avait dit : "les policiers, ils nous tuent, ils nous violent, ils nous frappent, qu'ils nous protègent" alors que l'auteur (...)
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