Un faux "Penseur" constitue une contrefaçon et un faux artistique portant atteinte au respect du nom Rodin ainsi qu'à l'intégrité artistique de son œuvre, et devant donc être détruit.
Un établissement public, ayant droit du sculpteur Auguste Rodin, a constaté qu'une reproduction en marbre du "Penseur" était exposée et mis en vente par un antiquaire à Paris, sans la mention de la reproduction. Il a alors assigné son propriétaire aux fins de voir ordonner sa destruction. Un jugement avant dire droit a jugé qu'il appartenait au musée de rapporter la preuve de la contrefaçon. Dans un arrêt du 8 juillet 2011, le tribunal de grande instance de (...)
Cet article est réservé aux adhérents