Dans un arrêt rendu le 22 mars 2010, la cour d’appel d’Orléans rappelle qu'un blog satirique portant sur les actions et la personnalité d’un député-maire s’inscrit dans la tradition pamphlétaire. Toutefois, les juges précisent qu'une présentation de nature à tromper l’internaute sur l’intention de l’auteur du blog constitue une faute. En l'espèce, le site n’affichait pas sa couleur humoristique mais prétendait émaner de sympathisants du maire (...)
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