L'administration pénitentiaire ne peut contraindre une avocate à retirer son soutien-gorge à armatures métalliques pour accéder au parloir du centre pénitentiaire sans déclencher l'alarme du portique de sécurité.
Le 25 août 2020, une avocate s'est vu refuser l'accès au parloir du centre pénitentiaire où elle devait rencontrer une personne détenue, du fait du déclenchement répété de l'alarme du portique de sécurité, lequel a été causé par les (...)Cet article est réservé aux adhérents