Une commune est condamnée à indemniser la victime d'une chute sur le ponton d'un port de plaisance : ni le fait que l'intéressée présentait un surpoids, ni la circonstance que la vétusté des supports en bois étaient pour partie visible, ne sont de nature à démontrer l'imprudence de la victime.
Alors qu'elle souhaitait vérifier l'amarrage de son bateau avant une tempête annoncée le lendemain, une plaisancière a été victime d'une chute sur le ponton (...)Cet article est réservé aux adhérents