M. X. a été victime en soirée d'un viol commis par son co-détenu à la maison d'arrêt de Gradignan. Immédiatement après les faits, il a glissé une note écrite relatant les faits aux surveillants qui allumaient la lumière dans sa cellule, et assuraient une surveillance particulière de la cellule durant la nuit. Le lendemain matin, la victime a été entendue et prise en charge pendant que le directeur recevait un rapport de l'incident. Les faits ont été (...)
Cet article est réservé aux adhérents