Mme P. a travaillé à partir de novembre 2005 pour l'entreprise luxembourgeoise T. Le 25 janvier 2007, son licenciement lui a été notifié avec effet immédiat "pour faute grave" en raison "d'une absence injustifiée pendant plus de trois jours". Le lendemain, Mme P. a indiqué à l'entreprise T. qu'elle était enceinte et que son licenciement était nul en vertu de la protection juridique conférée aux travailleuses enceintes. En l'absence de réponse de la (...)
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