Les propos à caractère sexuel et les attitudes déplacées du salarié à l'égard de personnes avec lesquelles il est en contact en raison de son travail ne relèvent pas de sa vie personnelle.
M. X. a été licencié le 24 octobre 2006 pour faute grave, un harcèlement sexuel lui étant reproché.La cour d'appel de Versailles, dans un arrêt du 22 octobre 2009, a dit le licenciement dépourvu de cause réelle et sérieuse, le salarié ayant tenu des propos à caractère sexuel à deux de ses collègues féminines lors de l'envoi de messages électroniques hors du temps et du lieu de travail, ou lors de soirées organisées après le travail. Les faits, (...)
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