Une juridiction ne peut prononcer post mortem la culpabilité pénale d'un prévenu qui mette en cause les héritiers.
Le 29 décembre 1992, une société, représentant certains actionnaires des sociétés Matra et Hachette, déposa une plainte avec constitution de partie civile pour abus de biens sociaux. J.-L. Lagardère fut renvoyé devant le tribunal correctionnel de Paris au motif qu'il aurait fait de mauvaise foi un mauvais usage des biens et du crédit des sociétés Matra et Hachette dont il était le président directeur général, et ce à des fins personnelles ou pour (...)
Cet article est réservé aux adhérents