M. X., chauffeur hautement qualifié de véhicules poids lourds, a refusé d'effectuer un transport de marchandise consécutif à une journée précédente de travail dont l'amplitude avait été de 21,5 heures, en faisant valoir son droit de retrait. Licencié pour faute grave, il demande l'annulation de son licenciement. Dans un arrêt du 22 septembre 2008, la cour d'appel de Pau, tout en constatant le droit de retrait a dit son licenciement avec cause réelle et (...)
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